Dans une conversation avec La Presse, James William Awad a dit qu'il n'était « pas au courant qu'il y [avait] beaucoup de non-vaccinés ». Cet aveu, tends à prouver qu'il savait qu'un petit nombre n'était pas vacciné.
Judith Gadbois-St-Cyr, qui est porte-parole de l'ASFC, a déclaré que « l'Agence des services frontaliers du Canada est liée par la Loi sur la protection des renseignements personnels et nous ne pouvons pas donner d'information sur un voyageur ou un groupe de voyageurs en particulier ».
Sans confirmer les informations de la source de La Presse, la porte-parole a tout de même dit « [qu'une] personne qui présente de faux renseignements sur son statut vaccinal ou des résultats de tests de COVID-19 falsifiés pourrait être passible d'une amende pouvant atteindre 750 000 $, d'une peine d'emprisonnement de six mois, ou les deux ».