Leurs postes ayant a été aboli pendant leurs congés de maternité, elles se voyaient refuser des prestations régulières d'assurance-emploi, parce qu'elles n'avaient pas accumulé assez d'heures de travail.
Maintenant, d'après le tribunal administratif, il en reviendrait au gouvernement fédéral de remédier à la situation. Il a déclaré que celui-ci se devait de mettre en place des mesures afin que ces femmes puissent bénéficier des mêmes avantages que les autres travailleurs qui perdent leur emploi.
L'avocate qui s'est chargée de ce dossier et responsable du service juridique du Mouvement action chômage, s'est dite très heureuse du dénouement. Elle y voit une grande victoire pour le droit à l'égalité des femmes.
