« Je dois faire le deuil de cette plage horaire que j'occupais depuis 13 ans, de cette conversation matinale avec les auditeurs. Ce qui est difficile à comprendre dans mon cas, c'est que je suis numéro un. Si je ne livrais pas la marchandise, c'est sûr qu'on pourrait plus justifier mon départ au public. Mais là, les gens me demandent : "Pourquoi partez-vous? Pourquoi on ne vous renouvelle pas?" Sincèrement, je n'ai pas de réponse à ça, sinon qu'on veut mettre quelqu'un d'autre, qu'on ne me veut plus.
Il y a trois campagnes électorales qui s'en viennent : municipales, provinciales et fédérales... J'ai des offres de tout bord, tout côté. Je jase avec plein de monde. »