« J'avais mille projets avec ma mère, regrette Izabelle. Ça faisait plusieurs années que j'étais sur la route et là, je revenais [au Québec] avec les enfants. J'avais le goût qu'elle s'en occupe, qu'elle les voie grandir. »
Elle a également dit :
« Ç'a été une déchirure assez traître, dit-elle. Les enfants avaient vraiment leur vie en Suisse et on les a arrachés hyper rapidement de là-bas. Ce n'était vraiment pas ce qui était prévu. Mon plus grand était fâché contre nous. En plus, il arrivait au Québec et sa grand-mère était malade. Il ne comprenait pas pourquoi elle ne pouvait pas aller jouer avec lui. C'était dégueulasse. »