Plus précisément, il s'est arrêté au Cégep Lionel-Groulx pour goûter leur version de ce classique québécois et donner son avis de manière totalement transparente.
C'était une première pour lui de venir critiquer une poutine dans une cafétéria d'école.
Son analyse débute par la sauce, élément essentiel d'une bonne poutine.
Cependant, avant même de plonger dans sa poutine, une chose le freine: la fourchette en bois.
Il comprend que les établissements scolaires veulent faire leur part pour être plus verts, mais pour lui, manger avec ce type d'ustensile donne inévitablement un goût de bois aux aliments.
Conscient que sa critique pourrait attirer l'attention d'autres institutions, il plaisante en disant que tous les cégeps voudront probablement qu'il vienne tester leurs poutines pour prouver qu'elles sont meilleures.
Malgré une entrée en matière hésitante, son avis évolue positivement au fur et à mesure qu'il savoure le plat.
À sa grande surprise, il trouve la poutine meilleure qu'il ne l'avait anticipé, affirmant même que sa note dépasserait le seuil de 7 sur 10.
Le prix devient également un aspect clé de son évaluation. Il souligne que pour cinq dollars seulement, la portion offerte est généreuse et pourrait satisfaire n'importe quel étudiant.
À ce prix, il avoue qu'il n'aurait pas hésité à en manger régulièrement s'il était encore étudiant.
En conclusion, Olivier Primeau attribue à cette poutine une note de 7.3 sur 10, un score qu'il considère comme très respectable pour un repas de cafétéria.
Voici sa vidéo:
Quant à savoir si ce genre de critique deviendra une série régulière, il laisse planer le doute, mentionnant que tout dépendra de l'intérêt que cela suscitera et des résultats à venir.
À suivre!
SONDAGE | ||
Trouvez-vous que les ustensiles en bois modifient le goût des aliments, comme le dit Olivier Primeau? | ||
Oui | 107 | 75.4 % |
Non | 35 | 24.6 % |
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