« Ça se pourrait que j'aille dans Charlevoix l'année prochaine. Parce que c'est vrai qu'il y a sept ans, on a eu des réunions. Il y a eu des réformes et on a eu des promesses. Et là, ce que j'ai senti, c'est que ce n'était plus ça. Le message qu'on a eu, c'est que maintenant, on va célébrer la qualité, pas les cotes d'écoute. »
« Ça semble être une sorte de campagne électorale pour un petit groupe limité, restreint, qu'on appelle l'industrie. Si c'est ça, c'est quoi l'intérêt? »