Bien que, pour l'instant, nous ignorons sa virulence, sa contagiosité semblerait plutôt faible et tout comme l'Omicron, ce variant présente de nombreuses mutations et des altérations sur la protéine « spike ».
Celui-ci aurait causé une première infection au Cameroun et aurait touché, jusqu'à maintenant, 188 personnes dans l'Hexagone.
Le variant B.1.642 a touché moins de 200 personnes en date du 27 décembre, alors que, pour sa part, Omicron a traversé la planète en moins de deux semaines.
Maintenant, la pharmacienne et professeure à l'Université de Montréal Diane Lamarre, tient à rassurer les gens : « On n'est pas du tout dans le même ordre de variant (Omicron). Il ne faut pas s'inquiéter outre mesure avec celui-ci. L'OMS ne l'a pas catégorisé comme un variant préoccupant, mais l'a plutôt mis « sous surveillance »
D'ailleurs, Catherine Smallwood, une responsable des situations d'urgence à l'OMS, a déclaré : « Plus Omicron se répand, plus il se transmet et plus il se réplique, plus il est susceptible de générer un nouveau variant. Actuellement Omicron est mortel, il peut causer la mort. Peut-être un peu moins que Delta, mais qui peut dire ce que le prochain variant pourrait générer? »