Les Armes: Vincent-Guillaume Otis fait des révélations sur le futur de son personnage
Crédit photo: Instagram
Lors d'une entrevue accordée au magazine 7 Jours sur le plateau de tournage de la deuxième saison de Les Armes, Vincent-Guillaume Otis a levé le voile sur ce qui attend son personnage, Louis-Philippe Savard.
Le moins qu'on puisse dire, c'est que la saison s'annonce intense, sombre et pleine de rebondissements.
À la fin de la première saison, Savard rejoignait l'escouade d'élite JTF16 pour protéger son fils, Ivan (Alfred Poirier).
Convaincu que ce dernier n'était pas prêt pour une mission à haut risque, Savard a préféré partir avec lui, mais cette surprotection va créer des tensions.
« Je pars avec lui pour le surveiller, mais comme bien des parents, j'en fais trop », admet Otis.
Résultat : la relation risque d'atteindre un point de rupture.
Une mission dans le Grand Nord et ses conséquences
Cette saison, l'action se déplace dans l'Arctique.
Perte d'un soldat, retour avec un otage, tensions accrues : les enjeux seront plus élevés que jamais.
Pour ajouter à la complexité, la major Catherine Sergerie (Larissa Corriveau) pourrait bien être une taupe!
« Vous n'avez encore rien vu », promet l'acteur.
Savard sera plus isolé que jamais, franchissant des lignes dangereuses et flirtant avec l'illégalité, tandis que sa vie personnelle se délite après le meurtre de l'espionne russe.
Si les séquences glaciales de l'Arctique seront surtout vues en flashbacks, elles ont été tournées avec un réalisme bluffant : fausse neige, motoneiges et manteaux d'hiver, en pleine canicule, à Sainte-Julie et autour des studios MELS.
« Il faisait 40 degrés, mais le rendu est incroyable », raconte Otis.
Préparer ce rôle militaire a inculqué à Otis une rigueur nouvelle.
Dès janvier, après un court repos, il a repris l'entraînement pour rester dans la discipline de son personnage.
« C'est comme si j'avais intégré un état d'esprit presque militaire », confie-t-il.
La saison 2 de Les Armes promet donc d'allier action, drame familial et tensions psychologiques avec un Savard plus vulnérable et imprévisible que jamais.
Source : 7 Jours
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