Olivier Dion s'emporte solidement contre les pourboires obligatoires et il ne laisse personne indifférent

Récemment, il a partagé une story Instagram dans laquelle il exprime son ras-le-bol face à une pratique de plus en plus répandue: les pourboires imposés sur les terminaux de paiement.

Accompagnant une photo d'un terminal affichant différents pourcentages de pourboire, il a écrit :

Mais qu'est-ce qui l'exaspère tant?

Est-ce les formules insistantes qui accompagnent souvent les suggestions de pourboire?

Ou est-ce le fait que le minimum proposé soit de 18 %, ce qui laisse peu de place à la liberté de choix des clients?

Ce coup de gueule de l'auteur-compositeur-interprète soulève une question qui agace beaucoup de consommateurs.

Autrefois, 10 % à 15 % étaient considérés comme la norme pour un bon service.

Aujourd'hui, les bornes proposent souvent des choix qui commencent à 18 %, voire 20 % ou plus.

Autre tendance qui fait grincer des dents : voir des pourboires suggérés dans des commerces où on ne s'attendrait pas à en laisser (cafés, boulangeries, épiceries).

Les terminaux sont souvent placés bien en vue des employés, ce qui pousse certains clients à se sentir obligés de donner un pourboire, même si le service n'était pas exceptionnel.

Si plusieurs partagent l'opinion d'Olivier Dion, d'autres défendent cette hausse des pourboires en raison des salaires modestes dans plusieurs secteurs.

Mais la question demeure: jusqu'où ira cette tendance ?

Une chose est sûre, le débat est lancé et Olivier Dion n'est pas le seul à se poser des questions sur cette nouvelle réalité.