Une trouble incurable chamboule la vie de Catherine Zeta-Jones depuis maintenant 10 ans
Crédit photo: Instagram
Catherine Zeta-Jones, un nom qui évoque instantanément l'élégance, le talent, la grâce.
Révélée au grand public en 1998 dans Le Masque de Zorro, sacrée aux Oscars pour Chicago, elle n'a jamais eu besoin d'en faire trop pour captiver.
Pourtant, derrière l'image impeccable et le charisme naturel, il y a une histoire plus intime.
Une réalité qu'elle ne cache pas : depuis plus de dix ans, elle vit avec la bipolarité.
En 2012, elle surprend tout le monde.
Dans les pages de People, elle déclare simplement :
« C'est un désordre émotionnel qui touche des millions de gens, et je suis l'un d'eux. »
Pas de dramatisation.
Pas de discours formaté.
Juste une vérité posée, crue, dans un milieu où l'on préfère souvent taire ce qui ne brille pas.
Ce diagnostic est arrivé dans une période particulièrement éprouvante : son mari, Michael Douglas, se battait alors contre un cancer de la gorge.
Les traitements, l'angoisse, la pression, Catherine a encaissé jusqu'à atteindre l'épuisement.
Deux hospitalisations ont été nécessaires pour souffler, loin du tumulte.
Dans InStyle, elle confiera plus tard :
« Vous découvrez qui vous êtes vraiment et qui est réellement la personne qui partage votre vie. »
Se protéger en coupant le bruit
Pour préserver son équilibre, Catherine a pris une décision radicale : ne plus lire ce qui se disait sur elle en ligne.
« Vous ne pouvez pas échapper à ce que les gens disent, et si vous êtes un être humain, cela peut être très douloureux. C'était devenu un poison. »
Elle le dit sans détour : arrêter d'aller sur Internet a été « la chose la plus intelligente » qu'elle ait faite.
Cela lui a permis de retrouver une paix intérieure, d'apprécier à nouveau les petites choses simples, comme boire un thé au soleil, loin des regards.
En partageant son expérience, Catherine Zeta-Jones ne cherche pas à se poser en modèle, mais elle contribue à briser un tabou.
Elle rappelle que même ceux qu'on admire de loin peuvent lutter en silence.
Parfois, la plus grande victoire, c'est de trouver sa propre manière de continuer à avancer, même si ça veut dire se déconnecter du monde pour mieux se reconnecter à soi.
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