Les Québécois trouvent une nouvelle façon d'économiser à l'épicerie et c'est franchement brillant
Crédit photo: Instagram
On dirait que tout coûte un bras ces temps-ci : le pain, le lait, même les carottes. Résultat : tout le monde cherche des trucs pour dépenser un peu moins, sans sacrifier le souper. Depuis quelque temps, une tendance prend de l'ampleur : les applications anti-gaspillage.
Oui, ces applications qui vendent à petit prix les invendus des supermarchés, encore parfaitement bons. Des noms comme FoodHero, Flashfood ou Too Good To go.
FoodHero, d'ailleurs, ce n'est pas juste un petit projet. C'est une entreprise d'ici et elle est très populaire. 600 000 personnes l'utilisent chaque mois au Canada, dont la moitié juste au Québec.
Leur idée? Nous faire économiser, pendant qu'eux réduisent le gaspillage alimentaire.
Renaud LeBlanc, le vice-président exécutif, mentionne :
« Derrière chaque économie réalisée, il y a une famille, un étudiant, un retraité qui respire un peu mieux à la fin du mois »
Honnêtement, il n'a pas tort, parce que, soyons francs, faire l'épicerie, c'est devenu un sport extrême.
Le Journal de Montréal a fait le calcul : une famille de quatre à Montréal dépense maintenant près de 290 $ par semaine.
Faites le total : 15 000 $ par année juste pour se nourrir. C'est 25 % de plus qu'avant 2021 et ce n'est pas comme si on mangeait du caviar.
Alors oui, ces applications changent la donne. Elles redonnent un peu de contrôle, un peu d'air et, en bonus, elles sauvent des tonnes de nourriture de la poubelle.
FoodHero, qui travaille déjà avec IGA, Metro, Rachelle-Béry et les Marchés Tradition, est maintenant présente dans plus de 1 100 commerces.
D'ici 2026, elle veut doubler sa présence. Une action qui prouve qu'on peut faire du bien à son portefeuille et à la planète en même temps.
Un petit geste à la fois, avec une facture un peu moins salée, nous pouvons travailler contre le gaspillage alimentaire.
Source : MonFric
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