Amour, tensions et révélations: Louise Sigouin se confie sur la semaine 2 à Si on s'aimait Célébrités
Crédit photo: Instagram
La deuxième semaine de l'aventure bat son plein, et déjà, les dynamiques entre les couples se précisent.
Louise Sigouin, en entrevue avec le magazine 7 Jours, commente les débuts parfois tendres, parfois malaisés des duos de Si on s'aimait Célébrités.
Voici les moments clés de cette semaine riche en émotions.
Une ville, un marché et un début prometteur pour Joanie et Michaël
Joanie a décidé de faire découvrir son monde à Michaël et tout commence dans l'ambiance colorée du marché Jean-Talon.
Il sort de sa banlieue, elle l'ancre dans sa ville.
« Voir Michaël s'ouvrir à cette différence est touchant », souligne Louise.
Ils créent ensemble un bouquet, discutent d'avenir, d'enfants, puis partagent un moment symbolique au musée des pompiers.
Un détail a toutefois retenu l'attention : la fameuse gomme que Michaël n'a pas jetée, préférant subir un inconfort plutôt que mal paraître.
Une petite scène, mais qui dit beaucoup.
Quand le rythme ne s'accorde pas : Anick et Alain déjà en déséquilibre
Lui, à 60 ans, fonce.
Elle, plus réservée, préfère prendre son temps.
« Ce n'est pas qu'Anick n'apprécie pas les attentions, mais ça va trop vite », note Louise.
Sur la patinoire, malgré leur passion commune pour la glace, Alain devient un peu trop proche physiquement, ce qui déstabilise Anick.
Le mot d'ordre?
Respecter le tempo de l'autre.
Maxence et Nikolas : entre confidences et définition de soi
Le lien se tisse doucement, mais avec profondeur.
Ils partagent le récit de leur coming out, parlent de leur rapport à la masculinité, à la différence.
Maxence s'ouvre :
« Mon père est le seul qui a mal pris ça. Il avait peur que je sois marginalisé. »
Nikolas lui pose une question sur sa définition du mot queer.
Touché, Maxence craint de mal répondre, mais s'explique avec franchise.
Un échange dense, touchant et pédagogique, selon Louise.
Sophie et Marc : des jeux, des rires et des interrogations
Ils se plaisent, ils rient, ils jouent.
Babyfoot, billard, complicité.
Cependant derrière les sourires, Sophie questionne la pratique de Marc, coach de vie :
« Peut-on vraiment guider des gens en détresse sans encadrement? »
Marc répond avec ouverture, sans se braquer.
Leur dialogue est sain, curieux, respectueux.
Une chose est certaine : ces premiers pas posent les bases de relations uniques, entre maladresses, vulnérabilités, connexions et espoirs.
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