Olivier Primeau réagit aux interdits du 24 juin, mais un internaute pointe du doigt ceux du BeachClub

Selon lui, les restrictions mises en place pour les célébrations de la Saint-Jean-Baptiste manquent de bon sens.

Il a tourné en dérision plusieurs des interdictions listées, allant des chaises pliantes aux trottinettes, en passant par les glacières et même les feux d'artifice.

Peu après sa sortie, un internaute prénommé Felipe a décidé d'aller voir du côté du Beach Club, propriété d'Olivier Primeau.

Ce qu'il a découvert a rapidement attiré l'attention: une série d'interdits encore plus exhaustive que celle dénoncée par l'entrepreneur.

En publiant une capture d'écran tirée du site officiel du Beach Club, Felipe a mis en lumière un règlement interne qui ne laisse que très peu de liberté aux visiteurs.

On y interdit, entre autres, les armes, les substances illicites, les sacs opaques de plus de 7,5 pouces, les parapluies, les jouets d'eau, les mégaphones, les chaises pliantes, les animaux de compagnie, les bouteilles réutilisables en dehors du plastique, ainsi que tout matériel de camping ou photographique de niveau professionnel. Une longue liste qui n'a pas manqué de faire réagir.

Si plusieurs ont vu dans cette découverte un exemple flagrant d'incohérence, d'autres estiment qu'il faut comparer ce qui est comparable.

L'un des points soulevés est la nature temporaire de la Fête nationale par rapport au Beach Club, qui fonctionne sur une plus longue période et dans un cadre privé.

Ces distinctions ont été mises de l'avant par des internautes qui estiment qu'il est logique de retrouver des règles plus strictes dans un établissement ouvert plusieurs mois, où la sécurité doit être assurée jour après jour.

Au final, ce bref échange entre Primeau et un internaute a soulevé une question plus large sur la perception des règlements publics et privés.

Le débat reste ouvert, mais l'épisode a clairement montré que dans l'ère numérique, il devient difficile de pointer du doigt sans risquer de se le faire retourner.