Vos vieux vêtements pourraient vous rapporter beaucoup d'argent : voici comment faire
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Faire du ménage dans sa garde-robe peut rapporter plus que vous pensez, et à Montréal, plusieurs adresses accueillent vos vêtements usagés pour les revendre ou les consigner tout en vous déposant quelques dollars dans les poches.
Le phénomène se développe à mesure que le public québécois s'intéresse à la mode responsable : non seulement pour acheter à prix réduit, mais aussi pour vendre ce qu'on ne porte plus.
Selon un article de Narcity, il existe au moins huit boutiques dans la métropole qui rachetent vos vieilleries - vêtements, accessoires, parfois même sacs griffés - et vous rémunèrent sans avoir à passer par des plateformes comme Marketplace ou Kijiji.
Où vendre ses vêtements à Montréal pour un petit extra
Prenons exemple : la boutique Sabrina's Closet accepte les articles de marque en consignation et propose entre 50 % et 60 % du prix de vente pour les consignateurs.
Chez Empire Exchange, on peut vendre ou échanger vêtements féminins ou masculins (sauf vêtements d'enfants ou tenues de soirée), après prise de rendez-vous et dépôt d'articles propres.
C'est simple : vous apportez vos morceaux, on évalue, vous acceptez l'offre, et hop, argent ou crédit en magasin.
Mais vendre ce n'est pas le seul avantage : acheter dans ces friperies s'inscrit aussi dans une logique d'économie circulaire et de consommation consciente.
Le guide de Tourisme Montréal indique que la scène de la seconde main dans la métropole est à la fois variée et accessible, couvrant du vêtement rétro aux objets pour la maison.
Pour maximiser vos gains ou dénicher de belles trouvailles :
- triez vos vêtements : propres, sans taches, encore « potables ».
- ciblez des boutiques selon le type de pièce (griffe ou simple vêtement quotidien).
- prenez rendez-vous quand exigé.
- visez les périodes de renouvellement des stocks (nouveaux arrêts, promotions).
Le tout s'avère parfait pour ceux qui souhaitent alléger leur garde-robe, faire un geste pour la planète tout en récupérant quelques sous. Dans un contexte de coût de vie élevé, c'est une belle alternative au simple don ou à l'entassement de vêtements dormants.
En somme, à Montréal, vendre ses vêtements dans une friperie n'est plus un geste marginal, c'est un réflexe autant pratique qu'éthique. Et si votre prochain tri se transformerait en mini-revenu?
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